Le match s’est déroulé dans une ambiance particulière : après une interruption de cinq mois due à la COVID-19, la Ligue des champions a repris. City est arrivé avec un avantage (2-1 à Madrid), mais le Real n’était pas prêt à abandonner sans combattre, même sans Sergio Ramos, suspendu. L’émotion était à son comble dans le stade : les supporters, bien que peu nombreux, soutenaient leur équipe avec un enthousiasme incroyable. Chaque cri, chaque sifflet, chaque mouvement sur le terrain reflétait la tension accumulée pendant l’attente. Dès les premières minutes de jeu, la détermination du Real était évidente. L’équipe a commencé à presser activement l’adversaire, cherchant à prendre l’initiative. Malgré l’absence de Ramos, qui a toujours été un rempart défensif, d’autres joueurs comme Raphaël Varane et Eder Militao ont tout fait pour compenser son absence. Au centre du terrain, Zinédine Zidane a laissé entrer l’expérimenté Toni Kroos et le jeune Fede Valverde, censés contrôler le rythme du match.
City, de son côté, n’allait pas reculer. L’entraîneur Pep Guardiola a bâti sa tactique sur la vitesse et le jeu de combinaisons. Kevin De Bruyne, comme toujours, a été le cerveau de l’équipe, créant des occasions dangereuses et distribuant le ballon avec une précision incroyable. Son interaction avec les attaquants – Gabriel Jesus et Rial Maharez – a créé une menace constante pour le but de Thibaut Courtois. La première mi-temps a été tendue. Le Real s’est créé plusieurs occasions dangereuses, mais n’a malheureusement pas réussi à les concrétiser. Le gardien de City, Ederson, a sauvé son équipe à plusieurs reprises, faisant preuve d’une réactivité exceptionnelle. Progressivement, City a pris l’initiative et, à un moment donné, alors qu’ils semblaient être à deux doigts de la victoire, Courtois a de nouveau sauvé l’équipe.
En seconde période, le Real a réussi à renverser le cours du match. L’ambiance indescriptible du stade a inspiré les joueurs à de nouveaux exploits. À la 60e minute, après une superbe combinaison, le ballon est tombé sur Vinicius Junior, qui a battu un défenseur et a tiré avec précision dans la lucarne opposée. Le stade a explosé de joie : le Real avait égalisé sur l’ensemble des deux matches ! City était alors sous pression. Guardiola a tenté d’opérer des changements, apportant des renforts, mais le Real a repris confiance en lui. Chaque passe, chaque attaque, était empreinte de détermination. Finalement, à la 78e minute, sur un centre sur corner, Varane a marqué le but qui a donné l’avantage au Real.
Alors que le temps s’écoulait, City a tenté de sauver la situation, mais le Real a défendu avec assurance. Dans la dernière phase du match, les joueurs de City cherchaient désespérément une occasion d’attaquer, mais la défense du Real était imprenable. Le coup de sifflet final a marqué la victoire du Real Madrid, qui semblait avoir retrouvé son éclat en Ligue des champions. Ce match était non seulement une étape importante du tournoi, mais aussi un symbole du retour à la normale après une longue pause. Les joueurs des deux équipes ont fait preuve d’une grande qualité de jeu, et même ceux qui n’étaient pas en forme ont pu démontrer leur dévouement et leur amour du football.
Dès la 9e minute, Jesus interceptait une passe de Varane dans la surface de réparation et centrait pour Raheem Sterling (1:0). C’était le résultat du pressing agressif dont Guardiola a saturé le jeu de City. Dès le début du match, l’équipe a fait preuve d’une grande intensité, forçant les défenseurs du Real Madrid à la nervosité et à la faute. Guardiola, connu pour sa flexibilité tactique, a opté pour une stratégie de pressing actif sur l’adversaire, qui a immédiatement porté ses fruits. Après le premier but, City, confiant, a continué d’accentuer la pression. Leur jeu de combinaison au centre du terrain est devenu plus dynamique, et chaque joueur connaissait son rôle. De Bruyne s’est activement joint à l’attaque, créant des occasions pour ses partenaires. Dans ce contexte, le Real s’est retrouvé dans une situation difficile, et l’entraîneur Zidane a compris qu’il fallait changer les choses.
Par moments, le Real a tenté de reprendre le contrôle du jeu. Kroos et Modric ont commencé à se joindre plus activement aux attaques, cherchant à établir une connexion avec les attaquants. Cependant, City a continué à dominer, utilisant ses flancs. Sterling et Bernardo Silva ont régulièrement intensifié le jeu, créant des espaces pour des actions offensives. À la 30e minute, City aurait pu doubler la mise lorsque De Bruyne a de nouveau percé la défense du Real grâce à une passe précise pour Jesus. Cependant, la frappe du Brésilien a heurté le poteau et le ballon s’est envolé dans la surface. Ce moment a marqué le tournant, le Real saisissant immédiatement l’occasion de répondre à la pression. À la fin de la première mi-temps, le Real a commencé à chercher activement des ouvertures pour le but d’Ederson. À la 40e minute, Vinicius Junior, ayant reçu le ballon sur le côté, a contourné le défenseur et a tiré dans la lucarne opposée, mais le gardien de City a de nouveau pris le dessus. Néanmoins, cet instant a été un signal pour le Real, qui a commencé à croire en ses capacités.
Les deux équipes sont rentrées à la pause avec City en tête d’une courte avance, et Zidane a probablement fait un sérieux travail avec ses joueurs. En seconde période, le Real est revenu avec une énergie et une détermination renouvelées. Ils sont devenus plus agressifs en attaque et ont commencé à se créer des occasions devant le but d’Ederson. À la 55e minute, après plusieurs attaques musclées, le Real a poussé City à la faute. Suite à une combinaison au centre du terrain, le ballon a atterri dans les mains de Modric, qui, profitant de l’espace, a adressé une superbe passe à Benzema. Le Français, sans réfléchir, a tiré et le ballon a filé au fond des filets – 1-1. Le stade a explosé de joie et le Real est revenu dans le match. City a dû jouer plus prudemment. Guardiola a procédé à des changements, faisant appel à des joueurs plus jeunes pour reprendre le contrôle du match. Cependant, le Real, déjà victorieux, a continué à attaquer. Chacune de ses attaques était pleine d’énergie et de détermination, et a rapidement remis City en haleine.
À la 70e minute, le Real a réalisé une nouvelle percée. Vinicius, ayant reçu le ballon sur le flanc, a contourné le défenseur et a centré pour Benzema. Le Français, bien placé, a de nouveau tiré, mais Ederson a réussi à le détourner. Cependant, le ballon a rebondi sur Vinicius, qui a envoyé le ballon au fond des filets à bout portant : 2-1 ! City se retrouvait alors dans une situation délicate. Il leur fallait marquer pour sauver le match et conserver leurs chances de qualification pour le tour suivant de la Ligue des champions. Guardiola a fait appel à ses derniers remplaçants, mais le Real a continué à défendre de manière organisée et cohérente. Le coup de sifflet final a marqué la victoire du Real, qui a réussi à renverser le cours du match et à démontrer sa force et son esprit d’équipe. Ce match est devenu un exemple de la capacité d’une équipe à surmonter les difficultés et à remporter la victoire, même lorsque la situation semble désespérée.
Guardiola a déclaré après le match : « Jesus est plus qu’un attaquant. Il détruit et construit. Il améliore chaque match.» Ces mots soulignent non seulement l’importance du Brésilien pour l’équipe, mais aussi son approche polyvalente du jeu. Jesus est devenu un joueur clé, capable non seulement de marquer des buts, mais aussi de participer au pressing, aidant l’équipe à récupérer le ballon et à reprendre le contrôle. Guardiola a toujours valorisé les joueurs capables de s’adapter à différents schémas tactiques. Jesus, avec son excellente technique et sa compréhension du jeu, est devenu un parfait exemple de cette approche. Il participe activement à la construction des attaques, créant des espaces pour ses coéquipiers. Un aspect important de son jeu est sa capacité à prendre des décisions rapides dans les situations difficiles, ce qui fait de lui non seulement un attaquant dangereux, mais aussi un joueur précieux dans le pressing.
De plus, il fait preuve d’une excellente interaction avec d’autres joueurs, comme De Bruyne et Sterling. Leurs connexions sur le terrain créent de nombreuses opportunités offensives, ce qui fait de City un adversaire plus imprévisible, quelle que soit l’équipe. Jesus ne se contente pas de marquer, il effectue également des passes décisives, confirmant ainsi son rôle de créateur au sein de l’équipe. Après le match, de nombreux experts ont souligné que cette rencontre démontrait les qualités de leader de Jesus. Il n’avait pas peur de prendre ses responsabilités et était prêt à mener l’équipe, même dans les situations critiques. Son énergie et son dévouement ont inspiré ses coéquipiers, qui ont commencé à jouer avec plus de confiance.